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Publié le 12 mai 2021Lecture 1 min

Ce que l'on sait du mélanome pédiatrique

Aldrink JH et al. J Pediatr Surg 2020 ; 55(9) : 1714-21.

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La plupart des mélanomes des enfants et adolescents sont sporadiques et attribuables à l’exposition aux UV. Les formes familiales ne représentent que 1 % des mélanomes de l’enfant. Cependant, presque un quart des enfants et adolescents concernés ont des facteurs ou des pathologies sous-jacentes favorisants comme le xeroderma pigmentosum qui multiplie par 2 000 le risque de mélanome. Le principal facteur de risque de développer un mélanome à l’adolescence est la présence sur le corps de plus de 100 nævus d’un diamètre de plus de 2 mm. Du fait de sa rareté, le diagnostic de mélanome chez l’enfant et l’adolescent est souvent fait avec retard et 60 % des mélanomes de l’enfant et 40 % de ceux des 11 à 19 ans ne remplissent pas les classiques critères ABCDE. Comme chez l’adulte, la chirurgie occupe la première place dans la prise en charge avec biopsie du « ganglion sentinelle » pour les tumeurs de plus de 1 mm. Pour les mélanomes à risque ou avancés (stades III et IV), les traitements utilisés chez l’adulte n’ont pas été testés chez les moins de 20 ans, mais les données recueillies montrent qu’ils peuvent être donnés à ces âges avec les mêmes résultats.

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